Ode à cette pièce, que j'aime, et qui m'aime
Je hume ton parfum à plein nez,
Je m'enivre de ton odeur,
Celle de la littérature, du papier,
Celle du Français, du détergeant,
Cette salle que j'aime et qui m'attend,
Son humeur flegmatique,
Ses murs tout de rose parés,
Habillés d'illustres portraits.
De nos chères têtes cette armoire est ornée,
Ainsi que de ceux qui furent et de ceux qui seront,
Des élèves.
Témoin intangible du temps qui file, file,
Et ne nous attend pas.
Retour aux articles de la catégorie poèmes -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres